Metz fut la quatrième ville au monde à accueillir l’Exposition Universelle de mai à septembre 1861. Après Londres en 1851, ce fut New York en 1853 puis Paris en 1855. Depuis la place de la République un passage face à la statue du Général Ney amenait par l’Esplanade jusqu’à une galerie qui devait initialement exposer des œuvres d’art, mais où l’on présenta de l’horticulture. C’est le bâtiment sur le cliché ancien. Témoin visible encore de nos jours de cette Exposition Universelle, les serres, œuvre du ferronnier messin Pantz. Elles furent démontées pour être remontées dans le jardin Fabert puis déplacées en 1886 dans le parc Frescatelly, l’actuel Jardin Botanique. L’Exposition Universelle de Metz a été l'occasion de développer l’infrastructure ferroviaire entre la France et l’Allemagne. Dans le Catalogue Général de l'Exposition Universelle, imprimé en 1861, un passage m'a particulièrement touché : "Les peuples entreront en relations plus intimes et nous ne verrons plus nos frontières inquiétées par des bruits d'invasion." Neuf ans plus tard, l’armée prussienne envahissait Metz.
Metz war die vierte Stadt der Welt, in der von Mai bis September 1861 die Weltausstellung stattfand. Nach London im Jahr 1851 war es New York im Jahr 1853 und Paris im Jahr 1855. Von der Place de la République führte ein Durchgang gegenüber der Statue von General Ney über die Esplanade zu einer Galerie, die zunächst Kunstwerke ausstellen sollte, in der jedoch Gartenbau präsentiert wurde. Das ist das Gebäude auf dem alten Foto. Noch heute sichtbares Zeugnis dieser Weltausstellung sind die Gewächshäuser, Werk des Hüttenwerkers Metz Pantz. Sie wurden abgebaut, um im Fabert-Garten wieder aufgebaut zu werden, und dann 1886 in den Frescatelly-Park, den heutigen Botanischen Garten, verlegt. Die Weltausstellung in Metz war eine Gelegenheit, die Schieneninfrastruktur zwischen Frankreich und Deutschland zu entwickeln. Im Gesamtkatalog der Weltausstellung, gedruckt 1861, berührte mich eine Passage besonders: "Die Völker werden engere Beziehungen eingehen, und wir werden unsere Grenzen nicht mehr durch Invasionsgerüchte gestört sehen." Neun Jahre später fiel die preußische Armee in Metz ein.
Metz fut la quatrième ville au monde à accueillir l’Exposition Universelle de mai à septembre 1861. Après Londres en 1851, ce fut New York en 1853 puis Paris en 1855.
Depuis la place de la République un passage face à la statue du Général Ney amenait par l’Esplanade jusqu’à une galerie qui devait initialement exposer des œuvres d’art, mais où l’on présenta de l’horticulture. C’est le bâtiment sur le cliché ancien.
Témoin visible encore de nos jours de cette Exposition Universelle, les serres, œuvre du ferronnier messin Pantz. Elles furent démontées pour être remontées dans le jardin Fabert puis déplacées en 1886 dans le parc Frescatelly, l’actuel Jardin Botanique.
L’Exposition Universelle de Metz a été l'occasion de développer l’infrastructure ferroviaire entre la France et l’Allemagne. Dans le Catalogue Général de l'Exposition Universelle, imprimé en 1861, un passage m'a particulièrement touché : "Les peuples entreront en relations plus intimes et nous ne verrons plus nos frontières inquiétées par des bruits d'invasion." Neuf ans plus tard, l’armée prussienne envahissait Metz.
Metz war die vierte Stadt der Welt, in der von Mai bis September 1861 die Weltausstellung stattfand. Nach London im Jahr 1851 war es New York im Jahr 1853 und Paris im Jahr 1855.
Von der Place de la République führte ein Durchgang gegenüber der Statue von General Ney über die Esplanade zu einer Galerie, die zunächst Kunstwerke ausstellen sollte, in der jedoch Gartenbau präsentiert wurde. Das ist das Gebäude auf dem alten Foto.
Noch heute sichtbares Zeugnis dieser Weltausstellung sind die Gewächshäuser, Werk des Hüttenwerkers Metz Pantz. Sie wurden abgebaut, um im Fabert-Garten wieder aufgebaut zu werden, und dann 1886 in den Frescatelly-Park, den heutigen Botanischen Garten, verlegt.
Die Weltausstellung in Metz war eine Gelegenheit, die Schieneninfrastruktur zwischen Frankreich und Deutschland zu entwickeln. Im Gesamtkatalog der Weltausstellung, gedruckt 1861, berührte mich eine Passage besonders: "Die Völker werden engere Beziehungen eingehen, und wir werden unsere Grenzen nicht mehr durch Invasionsgerüchte gestört sehen." Neun Jahre später fiel die preußische Armee in Metz ein.