Nach und nach beantragten um die Jahrhundertwende auch in der Krahnstraße immer mehr Ladeninhaber die Vergrößerung ihrer Schaufenster und Geschäftsräume. Infolgedessen bestimmte auch hier der moderne Geist des Konsumzeitalters die Gestalt des Straßenzuges. Mit Veränderungen dieser Art wurde Rudolf Lichtenberg häufig konfrontiert und womöglich trug eben dieses Erleben dazu bei, dass er mit seinem Bruder Emil 1909 die fotografische Mappe „Alt-Osnabrück“ herausgab, in dem das „Verschwinden“ der alten Stadt beklagt wird.Folgende Ladenlokale sind auf dem Foto zu sehen (von rechts): Im Haus Nr. 20 (angeschnitten) unterhielt der Handschuhfabrikant August Bortfeld sein Geschäft. Das Gebäude links daneben (Ecke Krahnstraße/Hakenstraße) gilt als das Stammhaus der Osnabrücker Schirmfabrik Johann Christian Zangenberg, die in den Schaufenstern ihre Produkte offerierte. Das darauf folgende Eckgebäude (Nr. 22) mit seiner hell hervorstechenden Fassade, beherbergte die Manufakturwarenhandlung Meyer & Gerdsmeyer. Das Eckhaus, ein positives Beispiel für ein nach klassizistischem Vorbild umgebautes Ackerbürgerhaus, besticht durch seine umsichtig gestaltete Schaufensterfront. In der Hakenstraße, deren schmale Einmündung rechts im Bild zu sehen ist, waren zahlreiche Adelshöfe, die städtischen Wohnsitze des Landadels, zu finden. Der Straßenname erinnert an das bekannte Adelsgeschlecht der von Hakes, die auf der Wasserburg Scheventorf bei Bad Iburg residierten (mit freundlicher Genehmigung des Museums Industriekultur).
Peu à peu, au tournant du siècle, de plus en plus de commerçants de la Krahnstrasse ont également demandé l’agrandissement de leurs vitrines et de leurs locaux commerciaux. En conséquence, l’esprit moderne de l’âge de la consommation a déterminé la forme de la rue. Rudolf Lichtenberg a souvent été confronté à des changements de ce type et peut-être cette expérience a-t-elle contribué au fait qu'en 1909, son frère Emil et lui-même ont publié le portfolio photographique "Alt-Osnabrück", dans lequel se plaignait la "disparition" de la vieille ville. à voir sur la photo (de droite): Dans la maison n ° 20 (coupée), le fabricant de gants August Bortfeld a maintenu son commerce. Le bâtiment situé à gauche (coin Krahnstraße / Hakenstraße) est considéré comme la société mère de la fabrique de parapluies Osnabrück, Johann Christian Zangenberg, qui proposait ses produits dans les vitrines des magasins. Le bâtiment d'angle suivant (n ° 22) avec sa façade très saillante abritait le marchand de la manufacture Meyer & Gerdsmeyer. Le bâtiment d'angle, exemple positif d'une ferme convertie en modèle classique, impressionne par sa devanture de vitrine soigneusement conçue. Dans la Hakenstraße, dont la bouche étroite est visible à droite, se trouvaient de nombreuses cours nobles, les résidences urbaines de la noblesse terrienne. Le nom de la rue rappelle celui de la célèbre famille noble de Hakes, qui résidait dans le château d'eau Scheventorf près de Bad Iburg (avec la permission du Musée de la culture industrielle).
Nach und nach beantragten um die Jahrhundertwende auch in der Krahnstraße immer mehr Ladeninhaber die Vergrößerung ihrer Schaufenster und Geschäftsräume. Infolgedessen bestimmte auch hier der moderne Geist des Konsumzeitalters die Gestalt des Straßenzuges. Mit Veränderungen dieser Art wurde Rudolf Lichtenberg häufig konfrontiert und womöglich trug eben dieses Erleben dazu bei, dass er mit seinem Bruder Emil 1909 die fotografische Mappe „Alt-Osnabrück“ herausgab, in dem das „Verschwinden“ der alten Stadt beklagt wird.Folgende Ladenlokale sind auf dem Foto zu sehen (von rechts): Im Haus Nr. 20 (angeschnitten) unterhielt der Handschuhfabrikant August Bortfeld sein Geschäft. Das Gebäude links daneben (Ecke Krahnstraße/Hakenstraße) gilt als das Stammhaus der Osnabrücker Schirmfabrik Johann Christian Zangenberg, die in den Schaufenstern ihre Produkte offerierte. Das darauf folgende Eckgebäude (Nr. 22) mit seiner hell hervorstechenden Fassade, beherbergte die Manufakturwarenhandlung Meyer & Gerdsmeyer. Das Eckhaus, ein positives Beispiel für ein nach klassizistischem Vorbild umgebautes Ackerbürgerhaus, besticht durch seine umsichtig gestaltete Schaufensterfront. In der Hakenstraße, deren schmale Einmündung rechts im Bild zu sehen ist, waren zahlreiche Adelshöfe, die städtischen Wohnsitze des Landadels, zu finden. Der Straßenname erinnert an das bekannte Adelsgeschlecht der von Hakes, die auf der Wasserburg Scheventorf bei Bad Iburg residierten (mit freundlicher Genehmigung des Museums Industriekultur).
Peu à peu, au tournant du siècle, de plus en plus de commerçants de la Krahnstrasse ont également demandé l’agrandissement de leurs vitrines et de leurs locaux commerciaux. En conséquence, l’esprit moderne de l’âge de la consommation a déterminé la forme de la rue. Rudolf Lichtenberg a souvent été confronté à des changements de ce type et peut-être cette expérience a-t-elle contribué au fait qu'en 1909, son frère Emil et lui-même ont publié le portfolio photographique "Alt-Osnabrück", dans lequel se plaignait la "disparition" de la vieille ville. à voir sur la photo (de droite): Dans la maison n ° 20 (coupée), le fabricant de gants August Bortfeld a maintenu son commerce. Le bâtiment situé à gauche (coin Krahnstraße / Hakenstraße) est considéré comme la société mère de la fabrique de parapluies Osnabrück, Johann Christian Zangenberg, qui proposait ses produits dans les vitrines des magasins. Le bâtiment d'angle suivant (n ° 22) avec sa façade très saillante abritait le marchand de la manufacture Meyer & Gerdsmeyer. Le bâtiment d'angle, exemple positif d'une ferme convertie en modèle classique, impressionne par sa devanture de vitrine soigneusement conçue. Dans la Hakenstraße, dont la bouche étroite est visible à droite, se trouvaient de nombreuses cours nobles, les résidences urbaines de la noblesse terrienne. Le nom de la rue rappelle celui de la célèbre famille noble de Hakes, qui résidait dans le château d'eau Scheventorf près de Bad Iburg (avec la permission du Musée de la culture industrielle).